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Donnons des Elles au Vélo

Un long dimanche de tranquillité

Ce dimanche, les filles ont quitté les Hautes-Alpes  pour rejoindre Privas, terme de cette cinquième étape du Tour de France.  Une traversée au coeur des Hautes-Alpes, de la Drôme et de l’Ardèche qui aura pu éveiller leurs papilles gustatives, à l’occasion d’une journée sans difficulté sur la route.
Un long dimanche de tranquillité pour les filles de Donnons des Elles au Vélo sur les routes du Tour de France. À première vue, cette cinquième étape ne comportait aucune difficulté majeure. Juste avant leur départ à Gap, le président du Comité départemental olympique et sportif leur remettait  les anneaux olympiques, en guise de cadeau.
Malgré ce joli présent, les filles devaient prendre la route pour poursuivre leur épopée. Après un démarrage en côte, elles roulaient à une cadence infernale pour rejoindre Privas. Malheureusement une chute sans gravité a cassé leur moyenne.
Éveiller les papilles gustatives
Pour la première, elles mangeaient aussi tôt depuis le début de l’aventure. L’occasion pour elles d’avoir dix minutes de plus pour déjeuner. Une pause bien méritée ! Le temps passe vite. C’est déjà l’heure de remonter sur le vélo. L’après-midi allait être sportive puisque le Mistral a tenté de les stopper  en plein fort. Elles ont tenu bon pour arriver saines et sauves en Auvergne-Rhône-Alpes.
Tout au long de cette étape, elles auront éveillé leurs papilles lors de leur traversée par les Hautes-Alpes, la Drôme et l’Ardèche. À leur arrivée, c’est millefeuille d’aubergine et féta aux poivrons rouges, ravioles de la Mère Maury farcies au chèvre frais, crème de pesto rouge et asperges, et décaféiné gourmand. Merci les filles pour cette journée gustative…
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Donnons des Elles au Vélo aux portes de la Provence

Après avoir tourné en rond autour dans ce début de Tour de France 2020, les filles de Donnons des Elles au Vélo ont enfin quitté Nice pour arriver aux portes de la Provence. Sur la route Napoléon, elles s’attendaient pas à vivre une telle journée. Sous cette chaleur suffocante, et avec un dénivelé positif de 2 400m, elles auraient pu rendre les armes…

Ce vendredi, on a connu des records de chaleur sur l’ensemble du territoire. Le thermomètre atteignant 42°C tout au long de la journée. Un vrai four sur une étape soi-disant plate entre Nice et Sisteron.

Sur la route Napoléon, elles ont dû grimper  pas loin de 11 côtes et cols, dont 4 étaient  répertoriés au classement de la montagne. Et cette chaleur caniculaire a entamé un peu plus les organismes. Heureusement, les filles pouvaient compter sur leur staff pour les arroser ou les ravitailler en boisson pur éviter tout coup de chaud.

Les filles arrivent enfin aux portes de la Provence, après 200km de course et 2 400m de dénivelé positif, aujourd’hui. Pour leur plus grand bonheur, les filles ont reçu un accueil royal, organisé par le maire de Sisteron, accompagné de l’association Femmes Solidaires. De quoi terminer cette journée sur une note un peu plus fraîche…

 

 

 

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Déjà dans le dur

Après une bonne mise en route, les choses sérieuses ont commencé pour les filles de Donnons des Elles au Vélo. Ce jeudi, elles ont dû se coltiner le col de la Colmiane, celui de Turini, et enfin le col d’Èze, avant une nouvelle arrivée à Nice.  Retour sur une journée très difficile. 

Premier test grandeur nature pour les 13 filles de Donnons des Elles au Vélo. Après une bonne mise en route, le programme allait être costaud, ce jeudi sur la deuxième étape du Tour de France. Au menu, le Col de la Colmiane, , la Col de Turini et enfin le Col d’Èze  qui attendaient les filles, aujourd’hui.

Sous une chaleur écrasante, cette journée aurait pu être difficile pour certaines d’entre elles. Après une cinquantaine de kilomètres sur des terres vallonnées pour se mettre en jambes avant d’attaquer  le Col de la Colmiane (16,3 km à 6,3%), le premier de la journée. Une entrée salée pour les filles !

Le thermomètre s’affole

Derrière, le plat de résistance arrive très vite avec la montée du Col de Turini (14,9 km à 7,4%) et ses lacets magnifiques. Dans cette ascension, le thermomètre affiche 38°C… La pause déjeuner n’est plus très loin. Elle se fera en bas de cette descente.

Il est temps de repartir car la journée est loin d’être finie. Il faut garder un peu de place pour le dessert. Et quel dessert ! Le Col d’Eze (7,8 km à 6,1%) à escalader sous une température avoisinant plus de 35°C , et dans les voitures. Pas une mince à faire pour terminer cette étape. Mais les sensations semblent bonnes pour la plupart d’entre elles.

Deuxième arrivée sur la Promenade des Anglais en deux jours

Maintenant direction Nice et arrivée, une nouvelle fois sur la Promenade des Anglais, la deuxième en deux jours ! « Puisque ce début de parcours de l’édition 2020 tourne en boucle, on se refait, en guise de digestif, les 5 premiers kilomètres du Col d’Eze. Peut-être un ou deux degrés moins chaud… Mais les pots d’échappement nous replongent tout de suite dans une chaleur étouffante, à l’heure d’arriver dans Nice », racontait Aline Clément sur son compte Facebook.

Au terme d’une telle débauche d’énergie, le repos est bien méritée pour ces guerrières ! Direction l’hôtel mais surtout le restaurant pour recharger les batteries et faire une bonne nuit pour arriver fraîches, ce vendredi matin, au départ de cette troisième étape! À coup sûre, ce début de Tour de France pourrait avoir déjà laissé des traces dans les organismes de nos 13 filles…