Polémique. À la suite de vives critiques suscitées sur les réseaux sociaux à l’encontre de la nouvelle campagne de communication « Les Missyclettes », la Fédération française de cyclisme (FFC) a reconnu, ce lundi dans un communiqué publié sur son site officiel, avoir commis « quelques maladresses » concernant le lancement de son plan de féminisation. Tout est donc à refaire pour la FFC afin de continuer à œuvrer pour le développement du cyclisme féminin.
Le mal est déjà fait ! La Fédération française de cyclisme (FFC) ne s’attendait pas à défrayer la chronique après le lancement de son nouveau plan de féminisation « Les Missyclettes ». En raisons de nombreuses critiques suscitées sur les réseaux sociaux, la fédération a reconnu avoir commis « quelques maladresses ».
« La FFC regrette que son dossier de presse présentant « Les Missyclettes » ait pu être interprété sous un angle sexiste. Cela va à l’encontre du message porté par la FFC et de son engagement dans le plan de féminisation », a rappelé la FFC dans un communiqué publié sur son site officiel. En effet, en lançant cette nouvelle campagne de féminisation, l’instance nationale voulait juste partager ses valeurs liées au cyclisme.
Continuer à oeuvrer pour le développement du cyclisme féminin
Malheureusement, c’est tout le contraire qui s’est passé. « Si certaines ont vu dans le contenu du communiqué des maladresses, la FFC le regrette et tient à leur redire la sincérité de son engagement », a-t-elle ajouté. Car elle n’a qu’un seul but : celui de continuer à oeuvrer pour le développement du cyclisme féminin.
« La Fédération continuera à agir avec détermination et conviction pour la féminisation de son sport, à travers la mobilisation d’un public élargi de pratiquantes », conclut-elle. En espérant que cet épisode ne vienne pas balayer tout le travail mis en place par la FFC depuis plus de trois ans…